Penser à son propre bonheur, est-ce être égoïste ?
Avis sur la question

Vouloir le bonheur de l'autre
Le 06 novembre 2006 par Chorusfr
Vouloir le bonheur de l'autre c'est comme Ayashka (dont je n'ai pas trouvé la qualité de membre inscrit) le présente d'une façon très psychologique, mais c'est aussi prendre une responsabilité.
Cela peut entraîner à imaginer apporter à l'autre un bonheur qui ne lui convient peut-être pas si l'on s'en réfère à nos propres critères du bonheur...
Si je pense à mon propre bonheur, il est vrai que si je me sens utile à l'autre, j'en serai déjà bien heureux. Ce pourrait être (pour moi) une façon d'interpréter ce que je voudrais obtenir de la vie. L'égoïsme dans tout cela serait de ne penser qu'a soi.
- Se sacrifie-t-on vraiment quand on participe à aider l'autre... les autres ?
- Aider l'autre, n'est-ce pas s'aider soi-même en cherchant à améliorer la vie de tous ?
Je pense effectivement que le contraire serait un acte de "déshumanisation" total.
Penser à son propre bonheur, c'est quand même savoir que cela est nécessaire pour avoir le moral et la bonne aptitude à commencer la vie qui se présente chaque matin en se levant.
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