La légende d'Hiram

Le maître,

Le maître,
Je ne sais pas pourquoi, mais ce mythe, l'histoire d'Adoniram me fait penser à cet agnostique, ce mécréant tombé dans la gnose à sa naissance sans le savoir. Il n'a reçu aucune initiation, l'authentique profane, et pourtant il se sent proche comme s'il les avait vécu dans d'autres vies de toutes ces luttes contre la barbarie l'obscurantisme le fanatisme humain.
Tous ces mythes puisés dans de nombreuses religions et philosophies orientales égyptiennes païennes chrétiennes, ont pour but de révéler la véritable nature de l'homme, en leur imposant l'image le reflet de leurs pires défauts, la vengeance, la haine, la jalousie, la cupidité, pour qu'enfin ils réagissent en trouvant intérieurement tout l'amour, toutes les ressources nécessaires pour gagner une paix universelle.
On a tous connu plusieurs maîtres dans sa vie, j'entends ces maîtres qui nous ont donnés l'étincelle nous ont transmis une passion des valeurs le respect, ils nous est donc difficile de comprendre que l'on puisse les trahir.
Ces mythes et l'actualité nous le rappellent tous les jours.
Savez vous quel est le plus grand plaisir le plus grand bonheur pour un maître ?
Voir son élève le dépasser un jour.
Vous aurez certainement l'occasion de le voir dans son regard.
A propos de symbole, j'ai reçu hier ce dessin : un miroir sur pied, un sabre recourbé avec une gerbe de blé à l'intérieur.
Ces trois symboles s'ils ne sont pas très clairs, ont le mérite de faire réfléchir comme le mythe d'Adoniram.
Amicalement
Maxel