La mort et la vie

Certainement nous vivons après la mort

Je crois maintenant, que la mort est une naissance sur un autre plan, car la venue sur terre n'est jamais le fruit du hasard.je crois en la réincarnation,la vie la mort ont je pense un cycle commun. L'époque, le pays, le milieu social et le choix des parents se définissent en fonction de beaucoup de critères pour les âmes qui cherchent à s'incarner.ainsi le terme de la vie terrestre ne serait peut être qu'un passage, donc la mort ne devrait pas faire autant peur.

La mort

La mort n'est pas triste pour qui sait qu'elle est le retour à la maison du Père, aux royaume des cieux.
Nous devrions faire une fête à chaque fois que qu'une personne que l'on aime retourne au Père. Si nous considérons cette terre comme une école ou nous apprenons à nous éveiller à qui nous sommes réellement, nous ne pouvons que reconnaître que les cours y sont ardus et la discipline sévère. Lorsque qu'un camarade, un frêre, qui suit les cours avec nous, à droit à des vacances, nous devrions nous réjouir pour lui. Ce camarade de retour dans sa vraie demeure au sein de sa vraie famille va faire le bilan de ce qu'il a appris et de ce qu'il doit encore apprendre. Il va être aidé pour faire ce bilan par des frêres et soeurs aînés qui ont déjà appris tout cela. Ce camarade va aussi profiter de ses vacances pour se restaurer l'âme. Parfois il choisira, avant de revenir à l'école de suivre certain cours là où il est. Quoiqu'il fasse il sera bien occupé et heureux si il a une certaine ouverture spirituelle ; Il sera entouré d'êtres qui le comprennent et le guident. Si un ancien camarade, avec qui il est lié par un sentiment d'amour, le rappelle sans arrêt à l'école pour lui demander comment résoudre ses propres problèmes ou, simplement, pour lui dire qu'il se sent seul sans lui, le vacancier ne peut pas profiter de ses vacances. Ce qui devrait être un paradis peut devenir pénible à vivre.
Alors si quelqu'un que vous aimez est parti à la maison du Père Envoyez lui des pensées d'amour qui seront lumières pour lui, mais ne l'appelez pas. S'il désire vous voir il viendra. Arrêtez de pleurer sur votre souffrance dù au manque de sa présence. Votre douleur crée parfois un mur qui est difficile à franchir pour le désincarné. Il ne lui est alors pas facile de communiquer avec vous, de vous faire sentir sa présence.

Des questions

Je n'ai jamais crains la mort depuis longtemps, sans savoir qu'il y avait la vie après la mort. Je sais maintenant qu'il y a une vie après la vie.
« Ceux qui craignent la mort sont ceux qui ne comprennent pas ce processus de vie/renaissance, qui ne vivent que pour ce et ceux qui les entourent physiquement, sans penser à leur âme qui n'est pas conçue pour rester indéfiniment sur terre... »
Je ne crains pas la mort et ceux qui m'entourent physiquement me permettent de vivre, et je vis même aussi pour eux. Pourtant je sais qu'un jour, leur âme et la mienne quitteront l'enveloppe corporel.
Et je sais aussi, que malgré ma connaissance de la vie après la vie, je souffrirai.
Alors ? que dois-je en conclure de cette souffrance de perdre un être cher ?
On peut vivre seul, sans attache, c'est sûr, sans vivre pour personne, vit-on mieux pour ça et partage-ton mieux ou moins bien ? Et est ce que notre âme s'en portera mieux ?
« La souffrance, les peines, les joies, les petits bonheurs ne sont pas réels ; ils ne sont qu'illusions de votre esprit, destinés à vous amener à l'amour, le partage. »
Illusion de l'esprit ? Pas réels ?
Mais à qui s'adresse ce texte ? A l'être parfait ? Celui qui n'a plus d'esprit ? Celui qui ne pense plus ? c'est suremetn ça la perfection, ne plus penser.
«Une vie remplie de souffrances, si elle n'est dirigée vers l'amour, sera une vie stérile. »
Beaucoup de personnes en grande souffrance, aiment les autres ; d'autres n'arrivant pas à surmonter leur propre souffrance, sont, ce que j'appelle des gens méchants, aigris, n'aiment pas les autres.
Mais combien de personnes dans la souffrance, vont vers les autres, d'autant plus qu'ils peuvent comprendre la souffrance des autres, et aiment les autres.
« Personne n'est obligé de souffrir sur terre, la souffrance n'étant qu'une construction du mental. »
Non personne n'est obligé de souffrir et pourtant ; je ne suis pas d'accord, que la souffrance ne soit qu'une construction du mental. Cela serait tellement plus simple. Combien de personne voudrait un lavage de cerveau ?
Le mental peut aussi alimenter la souffrance.
La souffrance existe, morale, physique et si douloureuse, si incompréhensible. Je ne parle pas simplement de la souffrance de la personne chèere qui est décédée, cette souffrance du manque. Mais de la souffrance que la vie fait vivre.
Après, il y a ce que j'appelle, le seuil de la souffrance ? Pourquoi sommes-nous si différent face à la souffrance, la notre et celle des autres ?
Je ne dois pas être évoluée, je ne suis qu'une toute petite terrienne qui comme le dit l'esprit cherche à : « ...évoluer, cheminer, mieux comprendre, vivre les vraies valeurs et en connaître les différences. »
Je suis attachée à mes enfants, à mes proches, et pourtant je sais que mon âme un jour sera détachée de mon enveloppe physique.
« La vie c'est l'Amour, la mission de l'âme c'est de devenir tout Amour, car ainsi, elle retrouve son Essence Divine, rejoint Dieu pour s'y unir à jamais. »
L'Homme parfait n'existe pas, l'âme parfaite non plus, chacun avance à son rythme, ou n'avance pas ou piétine.
Pour moi, ce texte me met mal à l'aise, surtout en lisant « La seule mission qui vous échoie est celle de la rencontre avec l'Amour, le vrai, l'inconditionnel, s'étendant à tous vos frères connus et inconnus. »
C'est comme si je passais un examen devant un jury, et finalement échoue cet examen, puisque je n'aime pas tout le monde. Et que je pense que jamais je ne pourrai aimer tout le monde.
Et est-ce ici, en tant qu'incarnée, que mon âme (puisqu'elle se sert aujourd'hui de mon enveloppe corporelle), que mon âme sera tout Amour ou désincarnée ?
Et puis, je n'ai jamais encore discuté avec mon âme, ni elle vraiment d'ailleurs. Je ne sais pas ce que fait mon âme. Sûrement pleins de choses, sans mon esprit, avec mon esprit mais, pas assez évoluée pour l'entendre ou l'écouter.
Que fait-on des recalés ?
Louna

Y-a-t-il des recalés ?

Chère Louna,
Rassure toi, je ne pense pas que tu es une recalée, dailleurs il n'y a ni recalé ni reçu puisqu'il n'y a pas de jury. Le seul juge auquel tu auras affaire sera toi-même.
Tu suis ton chemin à ton rythme, comme nous tous. Quel que soit le nombre de réincarnations dont nous avons besoin l'arrivée sera la même.
Ressentir l'Amour Universel dans notre enveloppe corporelle est rare et pourtant possible.
Le plus important, cela est ma vérité et n'implique que moi, c'est de faire sincèrement de son mieux, sans crispation ni refus.
Ton malaise face à ce texte est peut-être dù au fait qu'inconscienment il est vérité même si tu ne le vit pas consciemment.
Fraternellement

Bonjour Claudia !

Ce texte (magnifique ! ressenti personnel) s'adresse à chacun d'entre nous, car nous sommes tous parfaits sans exception.
Nous n'en avons pas conscience, tout simplement !
Notre mental est divisé, et reflète, par les qualités humaines issues de cette division, l'état d'esprit dans lequel nous évoluons au quotidien.
Le mental crée la souffrance par sa pensée (divisée)
L'attachement à un objet, à un être, crée un lien qui, lorsque ce dernier est rompu, provoque un manque donc génère une souffrance.
Petit avis personnel :
Aimer de manière inconditionnelle est Aimer la création dans sa globalité, sans donner d'importance égotiste à telle ou telle catégorie d'élément la constituant.
Voir en chaque création, la perfection !
Sans jugement !
Sans limitation du mental !
Je comprends, qu'il soit difficile de voir la perfection, chez un être commettant les pires méfaits.
Car notre mental fonctionne suivant certaines règles, issues de la division.
La souffrance ne sera plus, lorsque l'Unité sera acceptée par la conscience.
Le chemin est long, il ne tient qu'à nous de le rendre agréable !
La vie est tellement belle !
Que l'Amour soit !