Bonjour Nadine,
tu as écrit :
"c'est que chaque jour passé sur cette terre me rapproche de ma fille et un jour viendra ,je la retrouverai,je sais qu'elle sera là pour m'accueillir. "
Tu sais donc l'Essentiel, tu sais que ta fille est vivante dans l'Ailleurs... tu sais que rien ne s'arrête avec la
mort, tu sais que la
vie continue autrement... même si pour nous, il est très difficile de vivre l'absence physique de nos proches disparus.
Je te copie un texte sur ce sujet....
Courage et Espoir,
fraternellement,
Séfora
Ce texte est un extrait de Eveil
http://www.alliancespirite.org/communiquer-morts.html
"Partir jeune... Perdre un fils et vouloir plutôt
mourir que de le voir mourir. A quoi bon lutter contre ce qui doit être ? Ce qui est après n'est pas pire que la vie ici sur terre. Un autre
chemin, une autre route, une autre perspective et une autre dimension. Mais pire qu'ici, non.
Nous allons bien, pourquoi nous sentirions-nous mal alors qu'ici on reprend notre véritable identité, notre véritable
liberté d'être. Laissez les
âmes partir en paix. Laissez-les se reposer de leurs vies et continuer leurs vies au-delà de celle-ci à laquelle ils sont retenus par vous.
Laissez-les partir. Jamais ils ne sont trop loin de vous pour vous oublier, pour ne plus vous écouter ou sentir. Ils sont là mais sachez-le mes enfants, les routes se séparent entre le matériel et le
spirituel à la mort du corps. Ne les retenez pas sur terre... laissez-les vivre.
N'ayez pas peur de l'oubli. N'ayez pas peur pour eux. Eux, ils vont bien. Mais vous ? Qu'en est-il de vous ?
L'
amour que vous ressentez pour eux, ils le sentent, vos pensées ils les savent, vos paroles ils les entendent.
Votre souffrance est parfois plus dure que la leur. Votre souffrance est plus dure à leur état que leur propre mort. Libérez-les de ce poids... laissez-les aller à leur vie en toute tranquillité. Jamais le
coeur n'oublie ceux qu'il a un jour aimé. Et à votre appel, il reviendra. Mais il ne peut être retenu ainsi dans votre monde alors que son monde n'est pas celui-ci.
Ayez en vous la
foi, cette foi qui illumine et
guide vos pas mes enfants. Ayez foi, votre enfant est parti, un jour vous le retrouverez sous une autre forme, en un autre monde... ceux qui se sont aimés ou qui s'aiment se reconnaissent et se reconnaîtront toujours.
Le temps est d'aimer et aimer n'est pas une prison mais la libération. Ne retenez pas ceux que vous aimez par égoïsme mais laissez-les partir par amour. Vivez mes frères, vivez la vie qui est la vôtre. A la fin nous nous retrouverons."