L'homme est-il prêt pour la vérité aussi difficile soit-elle à entendre ?
Si nous suivons en aveugle le
chemin incompréhensible du sens de nos existences, serait-il précieux si comme dans
Absolion, nous disposions du Selbat ? Est-il préférable de rester aveugle afin de se mouvoir dans une pénombre familière ou sommes-nous maintenant prêts à aller vers l'inconnue majestueuse qu'est la
lumière ?