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Empathie et assertion

Texte publié le 19 juillet 2008 proposé par Nada_karana
Il me semble avoir déjà écrit que les formes concrètes et véritables du bien et du mal étaient à mon sens représentées par l'altruisme et l'égoïsme. Pendant que certains ego, déjà pesants, font des poids et haltères pour mieux altérer l'alter, ce dernier voudrait bien nous voir un jour tous égaux. Toute plaisanterie mise à part, cette classification existe en psychologie sous les dénominations, non ...

Commentaires autour du texte

Le sacrifice de l'égo

Par Reflexion le 22.07.2008
Cette dualité empathie/ego est une lutte sans merci qui nous tiraille entre le bien et le mal. Sacrifier son ego et ne plus envisager la vie à notre niveau individuel et ne considérer la vie qu'à l'échelle universelle est le but à atteindre. Mais voilà, il y a beaucoup de travail pour la plupart d'entre nous et que les menteurs se cachent.
Cette évolution vers la conscience universelle est un chemin semé d'embuches et si c'était facile, cela se saurait et à l'heure qu'il est, nous aurions tous ou presque rejoint la lumière divine.
L'ego, c'est l'ennemi numéro un, celui qui masque la vérité, qui nous empêche de nous aimer et d'aimer les autres. Evidemment notre degré d'égoisme est différent d'une personne à l'autre mais qui peut vraiment dire en toute sincérité que c'est le bien pour tous qui guide ses actions ?
S'oublier, c'est très compliqué. Etre conscient que nos difficultés se situent à ce niveau et lutter jour après jour pour la tolérance, l'amour, la sincérité, l'honnêteté, c'est déjà pas si mal...
Pour ma part, je ne crois pas que notre niveau d'égoïsme et d'empathie soit quelque chose d'inné, on peut agir pour sacrifier l'un et promouvoir l'autre mais il est vrai que notre monde actuel ne facilite pas le sacrifice de l'ego. Cependant, je m'efforce de prendre cette direction chaque jour et c'est un sacré boulot...

Sacre boulot-boulot Sacre

Par Nada_karana le 23.07.2008
Considérer la vie à une échelle universelle est, d'aussi loin que je me souvienne, quelque chose qui m'a paru tellement naturel qu'il m'a fallu un certain nombre d'années pour réaliser à quel point ce n'était pas une forme de pensée partagée. Ce peut donc être un point de départ plutôt qu'un but, toute chose comportant une infinité de degrés contrairement à nous. Bien évidemment, le fait qu'on commence son existence avec une telle propension ne signifie en rien que l'on naisse déjà accompli, et il suffit de voir comme je peux transpirer à creuser pour déterrer toujours plus de Vérités qu'il me faut ensuite observer dans autant de dimensions que possible avant de pouvoir me permettre d'avancer humblement que, peut-être, tel ou tel chemin s'avérerait ne pas être une impasse.
S'oublier n'est pas forcément souhaitable car on risque de laisser par la même occasion nos outils principaux. Donc si c'est pour avancer autrement qu'en solitaire, mercenaire ou kamikaze, pourquoi ne pas s'emmener avec soi ? Si ce "soi" est un "moi" orienté vers l'autre, il ne saurait être de mauvaise compagnie. Le tout, à chaque fois, est de partager plutôt que de s'approprier, explorer plutôt que conquérir, et découvrir plutôt que posséder, ce qui permet toutes les formes de communion plutôt que de nous en écarter. Je n'ai encore trouve aucune exception à cette règle si résumée soit-elle et toutes les fois où je me suis oublié où abstenu de m'écouter ont invariablement été celles où je me suis le plus gravement fourvoyé, pour autrui comme pour moi-même.
Le "moi" admis en tant que témoin et parfois même terrain d'expérimentation peut d'ailleurs être totalement comble de manière anti-egotique, du bonheur de partager ce qui sinon s'eteindrait, à l'instar de tout signal sans relai suffisamment proche.
Notre principe d'éternité paraissant si relatif, voire illusoire à certains, réside peut-être dans cet attribut. Si nous faisons office de relai, n'importe quelles ondes peuvent être relayées à partir de nous, ce qui ouvre en grand toutes les portes de l'évolution avec son cortège de manifestations encore incertaines à notre stade actuel comme la télépathie (principe d'émission-réception), la pyrokynésie (contrôle des micro-ondes), la télékinésie (gravité et magnétisme transcendés)... Mais avant de passer un casting pour la série "Heroes", il convient de savoir ce que l'on ferait d'attributs plus pousses. Car si nous repoussons toujours plus loin les formes d'éternité toutes relatives qui sont en nous jusqu'à devenir immortels par exemple, nous deviendrions autant de trous noirs, ce que certaines personnes ont déjà appris à être malgré une existence si brève, en imitant plus ou moins consciemment les étoiles atteignant leur masse critique et s'effondrant sur elles-même.
La fable de la grenouille qui voulait se faire plus grosse que le boeuf est une leçon pour tous les trous noirs ambulants qui commencent par "moi je" et qui finissent par "moi" après avoir aspire tant de "nous".
Les attributs d'empathie et d'assertion sont-ils vraiment innés ? J'espère ne pas avoir semble trop affirmatif car, à vrai dire, je doute encore... Je peux juste témoigner de mes observations plus ou moins déconcertantes d'êtres de tous âges, parmi lesquelles des expressions de rage pure comme de parfaite béatitude chez des nouveaux nés, et des manifestations très nettes avant qu'aucune habitude n'ait eu le temps de se former, de traits comportementaux comme la paresse, la curiosité, l'impétuosité, la gourmandise, la volonté, la passivité ou l'initiative, l'introversion ou l'extraversion, bref, tout ce qui nous compose jusqu'à notre mort. C'est aussi passionnant que troublant et je me sentirais infiniment reconnaissant à toute personne pouvant étayer et/ou compléter mes observations.

Sacrifice ? non !

Par Guymel le 23.07.2008
Après lecture de votre message, je ne pense opportun de sacrifier son égo, car nous en avons tous besoin.
Il fait partie de nos besoin fondamentaux, un peu comme nous deux hémisphère de notre cerveau, ils doivent tout simplement être en équilibre vis à vis de nos deux principes.
Notre égo, peut nous être très utile, ce n'est que lorsqu'il est utilisé à l'excès comme beaucoup de chose qui cela nous est "fatal".
Notre égo bien dosé, nous maintiens en équilibre dans beaucoup de situation... à savoir que si notre personnalité s'efface parce que notre égo est neutralisé, ou sacrifié, nous perdrons vraisemblablement des éléments essentiels pour vivre en équilibre.
Pour que nous puissions nous convaincre de notre état mental soit au diapason et en symbiose avec l'esprit, il y a un travail de lâcher-prise à faire, de renoncement à certains principes, de l'abnégation de tout ce qui nous est superflu dans nos pensées. Et tout comme la maladie, une fois identifiée, une fois la cause déterminée, nous en faisons un allié, égo pour lui donner une juste mesure.

Pour celui qui a pondu tout un programme de l'empathie jusqu'à l'égo ?

Par Xianaelle le 23.07.2008
Tu ne vois rien de mieux comme programme en ces jours d'été, de relâche et de vacances ?
Toujours de l'analyse et du contredire ? Bon sang je pensais vraiment que l'au-delà c'était flottant suffisait de se laisser surfer un peu comme sur une vague quelque soit l'océan.
Et bien que vive l'été toujours et bonnes vacances à vous tous.
Xianaelle un peu triste depuis le 4 avril de cette année car rien n'est plus pareil

Avis aux amateurs (qui lisent jusqu'au bout)

Par Nada_karana le 24.07.2008
Rien de mieux a proposer qu'un peu d'espoir difficilement discerne, mais le mieux n'étant pas l'ennemi du bien, je lui ferais un accueil bien plus chaleureux que le tien, quelle que soit la saison, si tu as des critiques constructives et dans les limites du respect exigible par tout un chacun. Bonnes vacances et gare aux insolentes insolations.

L'empathie

Par Maxel87 le 24.07.2008
Celui qui souffre d'empathie a compris que cette maladie contractée à la naissance va le poursuivre toute sa vie.
Illustration :
Lors d'un séminaire il va refuser les avances à peine voilées d'une superbe créature, pas parce qu'elle est mariée mais parce qu'il a cette faculté innée, l'empathie, qui l’oblige à se mettre à la place des autres, en l'occurrence celle du mari.
Qualité ou maladie ?
Ce qui est sûr, quand il va rentrer seul à l’hôtel, il regrettera et cherchera à comprendre sa réaction.
D'autres au contraire, les plus nombreux, ceux qui assènent des pseudo-vérités avec forces convictions prônant les valeurs le bien la morale et j'en passe, dans les mêmes conditions auraient répondu favorablement et sans sourciller aux avances de la séduisante créature.
Sans chercher à philosopher, force est de constater que l'empathie cette maladie ou cette qualité si rare qui nous vient de je ne sais où, pourrait si elle se répandait éviter de nombreux drames familiaux, résoudre quantités de cas de solitudes et conflits en tous genres.
Se mettre à la place de l'autre jusqu'à en ressentir les émotions les plus intimes.

"La Verite est Ailleurs", ou ici-même?

Par Nada_karana le 26.07.2008
Je tiens à témoigner ma plus profonde admiration pour les propos de Maxel87, qui a si simplement, brièvement et profondément illustre le thème de l'empathie, envisagée sous un aspect spirituel et non seulement psychologique, que les bras ont failli m'en tomber.
Qualité ou maladie ? Les deux mon général, qualité envers autrui, conscient, reconnaissant, ignorant ou méprisant voire pire, et maladie en soi-même, qu'il convient d'écouter autrement qu'au stétoscope pour ne pas devenir à son tour un mécréant (qui créé ou propage le mal), De ce fait, de l'empathie à la schyzophrénie il ne peut y avoir qu'un pas, et cette appellation clinique excluant par définition toute conception des paradoxes à bien souvent tendance a éloigner les "mauvais gérants" de leur vocation spirituelle. Il y a aussi l'appellation (d'origine douteusement contrôlée) de "lâche" ou de "faible", qui n'est compris qu'à partir du moment où il rend le mal reçu, amplifie de préférence, puisqu'il est bien connu qu'une personne se défendant avec vigueur et dommages colatéraux semble immédiatement plus convaincante dans son rôle de victime.
Empathe ou assertif, extraverti ou introverti, dominé ou dominant chez les animaux, quel que soit le nombre de leurs pattes, à chacun de se situer et de se conformer à ce qui lui semble être son essence, mais quand il n'y aura plus de pétrole, espérons qu'il nous restera les idées.
Merci encore, du fond du coeur, à Maxel pour son commentaire si inspiré, et merci par avance à tous ceux qui complèteront peut-être encore ce sujet dont la valeur ne repose que sur la diversité des opinions et ressentis qu'il pourra bien susciter.

Si seulement c'était plus simple certains de vos écrits ?

Par Xianaelle le 26.07.2008
A travers vos écrits, vos analyses, je lis de belles choses mais si compliquées à comprendre quelquefois que j'ai l'impression qu'il faut faire des études supérieures pour comprendre un monde naturellement dur à comprendre, celui de l'invisible.
J'espère qu'il n'est pas question d'empathie ou de sympathie ou d'autres choses de l'autre côté du voile et que simplement au moment du passage un accueil plein de chaleur puis ensuite le ciel nous appartient ! Je rêve ? Suis utopique ?

Autre note d'optimisme

Par Nada_karana le 28.07.2008
Bonjour. Je ne sais si ce vouvoiement était destiné à un ensemble de membres ou à moi seul, dont le sujet tant explore t'a fait réagir, et j'espère que tu ne trouves pas mon tutoiement convivial déplacé, car il n'est en rien une marque de respect déficient.
Nul besoin d'études supérieures, trop souvent dirigées, pour appréhender des textes issus de questionnements, et je pense en être la preuve vivante puisque détenteur d'un brevet des collèges en tout et pour tout, obtenu il y a maintenant 17 années. Comme quoi, l'utopie peut aussi résider dans le fait de croire que les institutions ont les moyens de nous "sauver". Peut-être le veulent-elles à leur façon mais il s'agit là d'une ramification éloignée du sujet initial...
L'utopie est d'ailleurs une notion on ne peut plus relative, puisqu'en rapport avec ce qui est communément admis comme réalisable ou non, la plupart du temps de façon empirique. Il s'agit donc souvent d'un "terme-prétexte" favorisant le laxisme a bien des niveaux.
Les choses se décanteront peut-être, entre les gros rouges qui tâchent et les gros égos qui fâchent, mais la leçon du bon vin demeurera : plus la lie est épaisse et dense selon l'ancienneté et la méthode de conservation, et plus le nectar à sa surface est riche. Reste à savoir quelle forme de richesse est la plus satisfaisante mais je ne suis pas ici pour prêcher des convaincus.
Pour conclure, effectivement, et comme le disait le slogan pour une marque de saucisses: "ne passons pas à côté des choses simples". Elles sont un repos pour l'âme et l'esprit mais qui veut aller loin devrait parfois ménager un peu moins sa monture. C'est un point de vue personnel qui n'attend comme toujours que de se laisser enrichir pour transmettre à son tour et à son échelle quelque chose de plus complet que le fruit de ses propres réflexions individuelles.

L'herbe est verte selon son oeil voire son regard ?

Par Xianaelle le 28.07.2008
J'ose dire car je la vois verte dans mon jardin et peut-être jaune dans celui du voisin ou inversement ?
Mais simpliste à comprendre là où c'est vert c'est arrosé et si jaune sec donc manque d'eau ?
Une image un peu simpliste mais ? Souvent vous arrosez beaucoup mais pas à la bonne racine ? J'espère et je le souhaite pour vous ? Celui qui sait arroser sera récolter... C'est un adage car c'est vrai que nous récoltons en général ce que l'on sème.
Alors à vos jardins (n'oubliez pas d'arroser ! C'est l'été).

Récoltes aléatoires

Par Nada_karana le 01.08.2008
J'ai apprécié cette image du gazon et ne la trouve pas si simpliste que ça. Plus un jardin verdoie et plus il est agréable à contempler pour autrui et soi-même, et inévitablement, sa luxuriance attirera insectes, limaces et escargots, à moins de savoir s'en prémunir. Cette protection ne doit pas être mise en place que pour soi si on reste dans l'optique du partage. Ainsi, au cours des mauvaises années, ceux qui reçoivent les fruits du jardin d'autrui ne devraient jamais oublier les efforts produits, et ceux qui cultivent (et se cultivent dans le sens le plus profond) pour tous ne devraient pas davantage se laisser aller à ensemencer une plus petite portion de leur jardin l'année d'après par crainte de perdre a nouveau du temps et de l'énergie. Car au bout du compte, ils y perdraient doublement, ayant moins à partager et à s'offrir plutôt que de s'offrir le partage.
Savoir protéger son jardin est donc un devoir envers tous, tout comme le fait de l'entretenir. Le temps perdu à épier celui d'autrui l'est également pour tous, sauf si c'est dans le but d'acquérir et restituer des connaissances et leçons, et la frontière entre espionnage stérile et contemplation fertile se situe au niveau de la distinction entre critique positive (enrichissante) et négative (appauvrissante pour tous). Il convient là aussi de protéger notre récolte sans jamais perdre notre sens de l'auto-critique, l'avenir de tous les jardins en dépend.

L'empathie quel mot !

Par Alicia le 29.09.2008
Je suis emphatique, je l'ai su lors de la maladie de mon beau-père. Avant je ressentais beaucoup de douleurs au contact de certaines personnes, je ne comprenais pas. Mais lorsque mon beau-père est tombé malade, je dormais à sa place avec ma maman, je ne dormais pas de la nuit tellement j'étais mal, je ne savais comment me mettre, cela a duré presque 9 mois. Mais j'ai pu le maitriser un peu car ma maman une nuit ne pouvant dormir, je lui ai pris la main et là aussi que de la douleur. Le lendemain matin je lui ai demandé ce qu'elle avait rêvé, elle m'a répondu, je me faisais opérer et je souffrais énormément, j'ai compris que j'avais encore pris toute sa douleur. Le lendemain encore la même chose, mais là je lui ai pris la main et je me suis dis si je peux prendre sa douleur je peux peut-être lui donner de la paix. Je me suis mise en phase avec elle par la pensée et je l'ai emmené dans les prés, pieds nus. Je lui ai montré de beaux paysages et là je l'ai vu se détendre et s'endormir doucement.
Je sais maintenant que quand je parle avec une personne et que je ne suis pas bien, que j'ai mal à certains endroits, je pose la question et en effet la personne a ces problèmes là.

L'empathie

Par Courtoisie le 01.10.2008
C'est un mot dont bien des personnes ne connaissent pas la signification, même des médiums. Je suis emphatique et cela pose problème, je croise une personne ayant des problèmes et je me mets à tousser. La personne gentiment me demande si je suis malade et je ne sais si je doit dire que je suis malade ou bien que c'est elle qui a des problèmes. Je touche des objets (cartes, habits etc.) lavés, repassés, rien ni fait : je tousse. J'ai l'impression de dégager ces objets, après il n'y a plus aucune réaction de ma part. Même réaction avec les chiens. Jusqu'à présent, si le chien a mal, je pose mes mains et le chien va beaucoup mieux. Une personne m'a traité d'affabulatrice et de faire du cinéma... Y-a-t-il une explication ?

Empathie et compassion

Par Thazz1 le 02.10.2008
Il me semble que vous confondez l'empathie et la compassion. L'empathie est un exercice mental qui consiste à comprendre la pensée de l'autre en intégrant ses mécanismes. L'empathie est notamment utilisée dans le cadre de négociations et surtout elle est la base de la CNV (communication non violente) qui est une nouvelle approche de la communication.
La compassion est la capacité à ressentir les émotions de l'autre, à partager ses sentiments au point de ne plus savoir faire la différence d'avec ses propres émotions.
Bien entendu, cela ne change en rien vos expériences mais il me semble que cette précision vous permettra d'être compris plus clairement par vos interlocuteurs. En tout cas, tout au moins, vous aurez les idées plus claires sur ce sujet.

Empathie et compassion

Par Courtoisie le 08.10.2008
EMPATHIE, explication du dictionnaire Larousse : mode de connaissance intuitive d'autrui qui repose sur la capacité de se mettre à la place de l'autre, donc de ressentir sa peine ou ses douleurs.
COMPASSION : sentiment de pitié qui nous rend sensibles aux maux d'autrui ; et cela ne veut pas dire que l'on prend sa douleur on en a seulement pitié.

L'empathie avec distanciation

Par Maxel87 le 08.10.2008
L'empathie ce mot qui a été mis à la mode il y a une vingtaine d'années par les sciences humaines et notamment dans les entreprises à coup de 1% patronal pour favoriser la communication, a bien comme le dit notre ami Thazz une notion de distanciation, je m'explique.
Si effectivement l'empathique a cette faculté de se mettre à la place des autres et de ressentir ses émotions voir sa douleur il conserve une distance avec la personne. Comme le magnétiseur il ressent la douleur mais ne la prend pas.
Le commercial doué d'empathie ressent ce que pense l'autre et peut s'en servir à son profit. Donc tout le monde a pratiquement raison.
Voilà avec ces dernières explications ce mini conflit résolu, je l'espère !
Ce mot qui est souvent confondu avec sympathie était au départ plus un terme de neuroscience puis tout le monde a voulu se l'approprier, de l'ésotérisme jusqu'au cinéma où on le retrouve dans les films de sciences fictions.
Détourner un mot de son sens premier cela m'arrive trop souvent je l'avoue, mais pour reprendre une citation de je ne sais plus qui ! Mystère, ouvrez les guillemets :
"Que celui qui n'a jamais péché me jette la première pierre".

Empathie, etc.

Par Courtoisie le 10.10.2008
J'ai compris vos propos et comme je ne suis pas suffisamment intelligente, ni trop versé dans ces sciences, puis-que j'apprends. Je vous fait confiance et je vais poser une question :
1) comment appelleriez-vous mon ressenti ? ,
2) car il faut aussi que je vous dise cela ne s'arrête pas, je n'ai plus fait d'expérience, cela tournait au jeu et j'ai arrêté. Il y a 8 à 10 ans j'avais la possibilité de pouvoir dire si un billet à gratter était gagnant ou pas. J'ai des témoins, sans le toucher et étant à 50cm au moins et la même chose avec un bulletin de loto, il y a d'autres manifestations mais à chaque jour suffit sa peine.

De l'empathie à l'expression du ressenti

Par Maxel87 le 13.10.2008
La sensibilité que l'on éprouve à ressentir ce qui nous entoure avec une perception exacerbée nous interpelle.
Ce sixième sens développé devrait au contraire nous réjouir.
Pouvoir se nourrir d'une façon extrasensorielle de la beauté de la nature, de la musique, de chaque objets, du Tout qui nous entourent devrait nous sembler naturel pour un être normalement éveillé.
Ce ressenti va quelques fois bien au delà comme chez Courtoisie, mais pourquoi s'en plaindre alors que tant de personnes ne perçoivent plus rien, aucune émotion, aucun émerveillement, conditionnés emprisonnés par la dure réalité quotidienne.

Suite de l'emphatie

Par Courtoisie le 14.10.2008
maxel87, je vous remercie de m'encourager, de me rappeler à l'ordre, de me faire savoir comme c'est merveilleux, je suis d'accord avec vous.
Mais si vous relisez ma première intervention vous pouvez comprendre que pour moi c'est parfois très pénible, je vais parfois, près de la perte de connaissance, tombe à genoux tant le ressenti négatif est fort. Et ce, tellement je tousse, sans pouvoir reprendre haleine. Par contre le ressenti positif, c'est le chakkra du coeur qui s'ouvre à en faire mal et surtout lorsque je vais recevoir la communion.
Je m'excuse mais je ne sais si on peut tout le temps parler de soi.

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