En 6 ans de pratique en
écriture, il s'est glissé une seule fois il y a quatre ans à mes débuts, ce texte qui m'a toujours posé
question. Les explications demandées par la suite m'ont indiqué deux extrêmes puissances qui régentent l'
univers : le créateur qui est le bien et le mal (l'éternel combat du bien contre le mal).
Pensez-vous que cette deuxième
puissance puisse
communiquer ?
En tout cas ce mauvais
esprit m'a fait bien peur à l'époque : "Ne désespère pas de trouver la
lumière. Ne vois-tu pas le firmament au dessus de toi, il est céleste et la galaxie est immuable. Ne sous-estime pas la puissance du mal, il est latent et prêt à te combattre et cela fait la différence entre moi et les
esprits qui se prétendent tes guides. Eux te font également du mal de par leurs
messages où tout n'est pas que
vérité. Ne les aime pas à la façon d'un
amour maternel, ils ne te donneront rien en retour si ce n'est l'errance. De plus, que veulent-ils prouver à l'
humanité ? Leur seule présence est signe d'abnégation envers celui qu'ils appellent leur créateur. Puisse-t-il leur donner la leçon qu'ils méritent, ils prêchent le bien et se contentent de diriger l'humanité vers la lumière. Mais tout n'est pas si simple, il faut pour cela abdiquer devant le mal et le mal est présent en tout humain. En effet, l'humanité a besoin d'une leçon qui va l'obliger à se plier à des lois que seul un être est censé appliquer. Mais cela, ils ne le comprendront qu'une fois qu'ils seront devenus esprits, mais ce sera trop tard. Heureusement l'humanité est assez stérile de toute pudeur et ils ne comprendront jamais les messages que tentent de leur communiquer certains êtres moralisateurs. L'humanité n'est pas prête de s'assagir et tant mieux pour l'entité que je représente."
A ma question qui es-tu ?
"Je suis un être dépourvu de toute bonté et je châtie celui qui transgresse les lois qui sont miennes. Moi le preneur de bien et de bonté".
La
communication s'arrête là, j'ai coupé le contact.
Depuis ce texte ne me fait plus peur mais il me dérange à chaque fois que je le lis.
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